Partout sur cette sphère la résurrection s’impose de part ses lois qui demeurent encadrées à travers une rigueur éternelle qu’on peut se rappeler à travers les yeux d’un épicurien en extase devant toutes les choses qui enjolivent la vie. Printemps, temps de renaissance où tous les éléments s’endorment sous la neige, encore frêles et essaient de sortir de leur nidification pour se parer de leurs plus beaux atouts. Le soleil revigoré en profite pour se pavaner dans sa grandiose flamboyance. Sous cet infime tapis de neige troué, les éléments se préparent à faire leur entrée vêtues de leur plus beaux habits. Toc, Toc, Toc! Goutte de neige liquéfié vient de sonner, c’est le début du compte à rebours. La renaissance peut commencer. Nous pouvons voir de part et d’autre ces touts petits bébés, qui à peine nés arborent une teinte vert pâle. Tout près d’eux, leurs confrères plus robustes s’installent en îlot tout près pour les aider à monter encore plus haut. La neige a disparu, laissant paraître toute la beauté qui avait été recouverte par cette blancheur immaculée. C’est une cacophonie de couleur, surtout au début avec cete palette graduée d’une verdure décortiquée. De touts cotés, les fleurs battantes ont emergées, arborant un million de couleur. Nul besoin de les envelopper pour les donner en cadeau, car il n’existe sur terre aucun papier aussi beau À travers quelques nuages, les rayons du soleil transperce le ciel de ses rayons ardents car la terre a encore besoin de lui, car l’extase n’a pas encore atteint son paroxysme. Maintenant, nous pouvons voir un peu partout, tel des gouttes de peinture des centaines de points de couleurs qui tourbillonnent, fusionnant pour former la plus belle aquarelle que l’on puisse imaginer. J’aimerais prendre le chemin de l’arc-en-ciel pour pouvoir admirer de là-haut combien ici-bas c’est beau.
Explication de ce texte
Prendre le temps de voir tout ce que la terre nous offre. Cette beauté et ressources renouvelées, ressources qui devraient être accessibles à tous. Très souvent, les gens ne peuvent manger à leur faim. La plupart du temps, ce sont des femmes et leurs enfants. À mon avis, l’une des causes importantes est la violence conjugale dans laquelle le bourreau isole sa victime, l’empêche de travailler, d’avoir un réseau social, de poursuivre ses études. Lorsqu’elle décide de le dénoncer, qu’il se retrouve en prison (mais ça pas toujours) ou qu’elle le quitte, la femme se retrouve démunie, avec des enfants à sa charge. Bien souvent, si elle réussit à se trouver un emploi, elle est mal rémunérée, elle doit se construire. Alors, comment voulez-vous qu’elle puisse faire? Grosse épicerie, c’est impossible.Lorsqu’on pense aux restos ou/et épiceries qui jettent de la nourriture par exemple, une pomme qui a une petite poque, c’est révoltant. La société ne semble pas ou ne veut pas bien comprendre les problématiques que ces femmes vivent, sinon elle lui apportera plus d’aide. Comme chaque saison est le complémentaire de l’autre. Nous les femmes, peu importe notre rang social, la couleur de notre peau, etc, devons faire front commun pour qu’enfin le message passe et que des actions soient entreprises de façon beaucoup plus importante au niveau de nos gouvernements. Merci à vous d’offrir des repas gratuits.
Lucie Roy